« La vie nocturne, oui, c’est un moteur de développement économique et culturel, mais c’est aussi un excellent lubrifiant social. Imaginez-vous avoir 19 ans en 2020 : vous ne vous sentez pas trop concerné par la pandémie et vous n’avez aucun espace pour vivre une certaine forme de vie nocturne. »
https://www.ledevoir.com/culture/581264/culture-la-nuit-sous-un-mauvais-jour